Jean-Michaël Seri estime que la victoire de la Côte d’Ivoire à la CAN 2024 a éclipsé le débat sur l’absence de Wilfried Zaha, désormais relégué au second plan.
Écarté de la sélection sous l’ère Jean-Louis Gasset, l’attaquant du Charlotte FC n’a pas encore retrouvé les couleurs nationales, malgré l’arrivée d’Emerse Faé. Ce dernier avait laissé entendre qu’un retour restait envisageable, mais les déclarations de Seri dans son entretien exclusif avec Afrik-Foot dressent un tableau bien plus incertain:
Cela ne fait plus couler d’encre depuis qu’on a gagné. Ça parlait, ça murmurait, ça donnait des avis mais… À partir du moment où tu gagnes une compétition, tu ne parles plus de ceux qui étaient absents. Aujourd’hui, je pense qu’il n’y a plus lieu de parler de ça.
Seri a également insisté sur le fait qu’aucun joueur n’est indispensable au sein d’une équipe, qu’il s’agisse d’un club ou d’une sélection nationale:
Personne n’est indispensable en club ou en sélection. Il y a des joueurs importants, mais même sans Messi ou Ronaldo, le Barça et le Real ont continué à gagner. Ceux qui se croient indispensables se trompent. Le cas Zaha ? Ce n’est plus d’actualité, on a gagné, c’est fini, oublié.
Jean-Michaël Seri : Salaire, statistiques, records et plus
Sous contrat avec Al Orobah, Jean-Michaël Seri était payé 1 233 245 euros, soit 801 609 250 FCFA par an lorsqu’il évoluait encore chez Hull City. Sur Transfermarkt, sa valeur est actuellement estimée à 750 000 euros.